Lancement du projet Follow Me dans le cadre du projet challenge, EPF Montpellier
Après un temps de discussion avec le directeur de l'école d'ingénieur EPF et le responsable du projet challenge, Léa décide de commencer à travailler sur Follow Me avec une première équipe.
Follow Me L'histoire d'un vécu
En juin 2020, Léa et sa mère, Dominique, participent pour la première fois à la course de la Monte Cristo. En effet, elles font ensemble le 2,5 km sans palme proposé le samedi après-midi. L'année suivante en juin 2021, seule Léa participe à la course tandis que sa mère reste sur la plage à l'observer. Au bout d'un peu plus d'une heure de course, Léa sort de l'eau et sa mère est surprise de la voir déjà arrivée. Dominique lui explique qu'elle a essayé de la suivre depuis la plage mais c'était peine perdue dès le premier coup de sifflé. La plupart des nageurs ont la même combinaison et tous ont le même bonnet. Il est totalement impossible de repérer qui que ce soit depuis le bord de la plage.
De là est né le projet Follow Me. D'une discussion, les idées ont fusé dans tous les sens et le projet à commencer à se monter dans la tête de Léa.
La proposition du projet au projet Challenge
À ce moment-là, Léa est étudiante en 3e année d'école d'ingénieur à l'EPF Montpellier. Elle en profite alors du projet de cette année, le projet challenge, pour essayer de commencer à développer une solution. Elle en parle au directeur du campus, François STEPHAN, qui trouve le projet très intéressant et lui propose d'en parler à Étienne Gibaud, enseignant chercheur sur le campus et responsable du projet challenge. Ce dernier accepte et Léa commence à monter une équipe.
Cette première équipe est composée de Marc COSSAIS, Nicolas DENIER, Louise FAURE, Enzo FRAGALE et Audrey MARTY. À cinq, ils développent un premier prototype qui malheureusement ne fonctionnera pas. Le premier problème est le GPS ne fonctionnant pas correctement et n'ayant pas la bonne précision, le deuxième étant le poids et la taille de l'appareil dépassant largement les dimensions acceptables pour mettre sur un sportif.
Premier prototype Juin 2021
Un potentiel pour la suite
Même si aux premiers abords ce projet semblait être un échec, ce projet a été une motivation supplémentaire et a donné envie à Léa de continuer à le développer pour pouvoir le proposer par la suite. En effet, suite à la soutenance, les retours du public et du jury étaient plus que positifs et motivant. De plus, Léa a eu l'opportunité de rencontrer Dominique LENA, le fondateur de la Monte Cristo, qui lui a fait part d'un grand intérêt pour le projet.